Faut-il céder à la tendance «wax bar» ?
Ouvrir un bar à cire est une idée séduisante tant pour une professionnelle qui cherche à se renouveler que pour la clientèle friande de concepts inédits. Mais communiquer sur un nouveau service ne suffit pas à en faire un succès d’entreprise. Avant de transformer les prestations épilation en spécialités «wax bar», il faut peser le pour et le contre et étudier notamment les possibilités de rentabilité de ce concept, qu’il soit inclus dans un institut existant ou exercé en activité principale.
Bar à cire, quatre raisons de se laisser tenter
Une bonne alternative à l’épilation définitive
Les technologies d’épilation définitive par laser ou lumière pulsée ont fait leur apparition dans le secteur de l’esthétique mais elles n’ont pas pour autant séduit tous les centres de beauté. La première raison en est le coût qui vous oblige à vous endetter pour disposer d’une machine qu’il faut ensuite amortir. Créer un bar à cire, en revanche, permet de reprendre la main sur un secteur traditionnellement réservé à l’esthétique en offrant des services techniques et personnalisés.
Une mise en place simple et économique
Il suffit d’une bonne sélection de cires associée à des appareils adaptés aux différentes techniques, cire chaude, froide, en bandes… pour offrir des prestations de qualité et qui répondent à tous les besoins. Même en choisissant du matériel haut de gamme, le budget reste raisonnable.
Mise en avant d’une expertise professionnelle
Jouer la carte du bar à cire permet de moderniser ce secteur et de remettre en avant votre expertise. Déterminer le bon sens du poil et la cire la mieux adaptée, proposer une prestation sur-mesure qui tient compte de la sensibilité de la peau, de la pilosité et des goûts de la cliente en termes de cires, réaliser la prestation en un temps record et quasiment sans douleur, sont autant d’atouts à valoriser pour capter une clientèle souvent infidèle sur ce type de prestations.