Tout ce qu’une esthéticienne doit savoir sur le peeling superficiel
Comment en êtes-vous arrivée à vous intéresser aux peelings superficiels ?
Lorsque je préparais mon diplôme de visite médicale. C’est un diplôme de niveau VI permettant d’acquérir de solides connaissances en produits de santé. Les visiteurs médicaux, également appelés délégués médicaux, sont chargés de :
• promouvoir des médicaments ou dispositifs médicaux auprès des professionnels de santé,
• expliquer les bénéfices, les mécanismes d’action, et les protocoles associés à ces produits,
• assurer une communication claire, conforme et éthique, entre les laboratoires et les praticiens.
C’est ainsi que, dans le cadre de mon diplôme, j’ai réalisé mon mémoire sur des cicatrices chéloïdiennes et hypertrophiques des peaux noires car j’ai eu la chance d’être formée en dermatologie.
Il faut savoir que l’un des produits que je présentais, en parallèle de la préparation de mon diplôme, agissait sur les kératoses actiniques, il avait un effet peeling/exfoliant. À l’époque, les peelings étaient réservés aux dermatologues, on parlait de peelings mécaniques et non de peelings chimiques et encore moins superficiels. J’ai donc décidé de m’y intéresser encore plus.
Comment avez-vous acquis votre expertise en pelling ?
En tant que visiteuse médicale, j’ai eu un accès privilégié au monde médical et à ses avancées.
Cela m’a permis de :
• me spécialiser dans des problématiques spécifiques (cicatrices chéloïdiennes, peaux noires),