«Esthéticienne, je suis devenue facialiste en me formant chez LB Facialistes©»

La découverte de LB Facialistes©

J’ai ouvert mon institut peu de temps avant le Covid. Durant cette période, je regardais sur les réseaux sociaux des vidéos de massages faciaux. C’est ainsi que j’ai découvert Delphine Langlois. Je l’ai contactée et elle m’a informée qu’elle venait d’ouvrir une école avec Catherine Bourgeois. Je me suis alors renseignée sur leurs diverses formations.

Devenir Facialiste

Lors de ma précédente expérience professionnelle, nous faisions énormément de soins visage. J’y prenais beaucoup de plaisir. En revanche, nous utilisions des appareils et ça me plaisait moins.

Une fois mon institut créé, je voulais proposer des soins manuels mais différents pour aider mes clientes à obtenir des résultats sans utiliser des appareils, avec des gestuelles et des protocoles nouveaux, des techniques manuelles non-invasives (kobido, stretching) basées sur l’activation musculaire et circulatoire.

Je me suis donc formée pour devenir facialiste.

Les aptitudes pour devenir facialiste

Il faut comprendre les besoins, les attentes et les émotions de la cliente. Le toucher est central dans ce métier : il doit être précis, fluide, intuitif et expert.

Être à l’écoute de la peau, ressentir les tensions, adapter la pression, chaque mouvement doit être maîtrisé et réalisé avec minutie.

Le kobido : un «lifting naturel»

C’est le massage phare des soins facialistes car il combine efficacité esthétique (lifting, redensification, teint lumineux) et bien-être global (relaxation, drainage, énergie équilibrée).

Relié aux points d’acupuncture et au travail sur les méridiens, le kobido rééquilibre le « Qi », l’énergie vitale, il libère le stress et les tensions (notamment au niveau des mâchoires et du cou).

Le Kobido

Il a une véritable action restructurante. C’est une vraie chorégraphie car c’est un massage dynamique dans la gestuelle. On travaille le muscle pour le retendre au maximum et avoir cet effet lifting. Ces gestes rapides et profonds stimulent les fibroblastes et la production de collagène et d’élastine.