Success story Corpoderm
Comment avez-vous débuté ?
J’ai débuté sur une idée toute simple, tout seul dans 9 mÇ, une petite pièce que j’avais occupée chez moi. J’avais vu du bronzage sans UV et ça m’a plu, j’ai donc recherché un équipement de projection d’autobronzant en fines gouttelettes et j’ai ainsi commencé l’aventure.
Aviez-vous un objectif au départ ?
Le projet, écrit courant 2005, était qu’à terme Corpoderm serait un fabricant français capable de fabriquer plusieurs technologies. Je pensais y parvenir en 5 ou 10 ans, il m’en aura fallu 15 !
Qu’avez-vous fait pour l’esthétique ?
Nous avons apporté un plus au marché esthétique. J’ai appris mon métier à l’étranger, en tant qu’export manager pour tous les pays hispanisants d’une entreprise française d’esthétique.
J’ai vite compris que notre marché avait besoin d’un élan, d’une véritable refonte, il fallait absolument aider les professionnelles à passer cette transition.
Avec un oeil extérieur, j’avais compris que les technologies seraient l’avenir de l’esthétique ! Sans technologie, c’est l’épuisement des esthéticiennes, peu de rentabilité, beaucoup de travail pour une petite satisfaction tant pour les clientes, que financière pour l’institut.
Ma volonté a donc été d’apporter beaucoup de conseils, de suivi, de supports et de communication, la garantie de faire le meilleur choix.
Aujourd’hui, une esthéticienne est beaucoup sollicitée. J’ai voulu proposer un véritable partenariat et une relation de confiance. Je pense que nous avons bien réussi.
Pour preuves, nous avons de plus en plus d’instituts équipés de quatre, voire cinq technologies achetées tous les deux ans. C’est notre meilleure crédibilité.
Quel est votre concept précis ?
Le concept est simple : nous accompagnons l’esthéticienne et nous lui apportons un business clé en mains avec du conseil, de l’accompagnement, du C.A., l’animation de son site, tous les supports possibles et nécessaires dans son métier… Nous agissons comme une véritable agence de communication !
Quel est le secret de votre réussite ?
La CONFIANCE, l’HONNÊTETÉ. J’aime cette phrase : «Faire ce que l’on dit, ce que l’on promet». Nous sommes en phase avec nous-mêmes et avec nos clientes.
Nous sommes très humbles, nous reconnaissons nos erreurs, ce qui permet de nous améliorer et d’apporter le meilleur à nos clientes.
Qu’est-ce qui a été le plus difficile ?
C’est difficile tous les jours car c’est une remise en cause constante : nous devons aider, appuyer, innover tout le temps ! Le plus dur est de ne jamais avoir de répit, comme les esthéticiennes !
Quelle est votre plus grande fierté ?
Innover, tout le temps. Nous avons créé le «Diasculpt» : l’outil le plus rentable, sans consommable, avec des résultats jamais vus avec d’autres technologies. Nous avons même eu une aide de la Région Midi Pyrénées !
Le «Diasculpt» est l’équipement le plus novateur en matière d’infrarouges courts. Appareil polyvalent de soin du corps et du visage, «Diasculpt» permet de réaliser des traitements hautement performants d’amincissement et de rajeunissement par la lumière rouge. C’est l’alternative la plus crédible à la chirurgie esthétique.
Nous avons innové avec une nouvelle technologie brevetée : la «Diadermie», qui repose sur la combinaison inédite de l’infrarouge court et de l’air pulsé, qui permet d’agir en profondeur sur la stimulation des cellules situées dans les couches sous dermiques.
Quel est votre leitmotiv personnel ?
Le plaisir du travail bien fait, être différent, être innovant et surtout utile.
Quel est votre prochain objectif ?
Fabriquer la presque totalité de nos produits en France ou en Europe, c’est déjà le cas, nous fabriquons chaque jour plus de produits en France.