I Love Biotic Phocea (3)

Florence Temim
Fondatrice des 24 franchises 
BOUDOIR DU REGARD



En 2010, sont apparus les premiers Boudoir du Regard à Paris, dans le 16ème arrondissement. Aujourd’hui Le Boudoir du Regard est présent dans toute la France avec 24 franchisés en France ainsi qu’en Belgique et en Suisse.

La création du Boudoir du Regard
J’aimais le dessin, je voulais faire les Beaux-Arts, mes parents n’étaient pas d’accord, j’ai donc fait une école de commerce et je me suis retrouvée ingénieur d’affaires en informatique. En 2003, j’ai eu des jumeaux, j’ai levé le pied professionnellement et j’ai travaillé dans l’événementiel sportif avec mon mari. En 2008, la crise est arrivée, ce n’était pas une bonne idée de travailler tous les deux dans le même secteur, il fallait trouver autre chose. En 2009, bien que le sourcil soit encore très confidentiel, j’ai fait un business plan et j’ai réalisé qu’il y avait une vraie demande. Moi-même je ne trouvais pas d’institut pour avoir des sourcils jolis et pas trop foncés. J’ai donc créé Le Boudoir du Regard pour justement proposer aux clientes des sourcils jolis, clairs pour les femmes aux cheveux clairs qui n’osaient rien faire de peur de se retrouver avec des sourcils de sorcière très foncés. 

Le concept était donc de redonner des sourcils, un regard à toutes les femmes qui ne voulaient pas des gros traits de marqueur que l’on faisait à l’époque. J’avais comme objectif d’ouvrir un Boudoir du Regard et de le faire correctement.

À la recherche des pigments
Pour éviter les sourcils très foncés que l’on voyait à l’époque, je me suis tout d’abord renseignée sur les pigments. Je voulais des pigments clairs et qui ne durent pas car le visage évolue avec le temps. Je me suis également renseignée sur les formations. En CAP, on n’étudiait pas du tout la mise en beauté du regard. J’ai testé plusieurs pigments. À l’époque, les pigments chinois étaient courants, mais moi, je voulais des pigments français avec une garantie de qualité et une large palette de couleurs pour proposer une belle pigmentation aux sourcils blonds. Il était essentiel pour moi de pouvoir m’appuyer sur des fournisseurs fiables.

La découverte de Biotic Phocea
J’ai découvert Biotic Phocea sur Internet. 
À l’époque c’était une petite structure mais déjà l’usine, le marketing, le commercial étaient en France et les pigments étaient utilisés dans le milieu médical. On injecte des pigments dans la peau, il faut être responsable.
J’ai testé des pigments allemands mais ils n’étaient pas de bonne qualité et je n’avais pas la même écoute.

Biotic Phocea aujourd’hui
Je suis en veille permanente sur les nouveaux pigments et les nouveaux modules et, dix ans plus tard, je travaille toujours avec Biotic Phocea parce que je n’ai pas trouvé mieux sur le marché ! L’atout majeur de Biotic Phocea, c’est la taille de leur palette de couleurs, elle est immense.

Mon rêve, ce serait un pigment universel pour les blondes, pour les châtains clairs et pour les brunes. Je vais développer avec Biotic Phocea d’ici six mois une gamme de pigments personnalisée et logotisée pour Le Boudoir du Regard avec nos couleurs.

L’évolution des souhaits des clientes
Il y a dix ans, les clientes réclamaient des sourcils à la libanaise, aujourd’hui elles veulent du naturel. Elles réclament aussi des pigments qui ne tournent pas mais c’est la grande difficulté avec la couleur : avoir une stabilité malgré les différents pH de peaux et l’âge de la cliente.

La technique
Je ne suis pas esthéticienne, je suis totalement affranchie des anciennes méthodes et je fais du dessin, c’est ainsi que j’ai créé la base des techniques pour Le Boudoir du Regard avec du point à point. Cette technique permet d’avoir des points de différentes intensités pour créer du relief ce qu’on ne peut pas avoir avec le poil à poil. Je ne suis pas persuadée que le poil à poil est plus naturel car même si le trait est très fin au départ, avec le temps, il a tendance à s’épaissir… Il faut savoir que l’œil humain distingue très bien les traits, beaucoup moins les points. L’idée est qu’à distance sociale, c’est-à-dire à un bras tendu de vous, on ne distingue plus les points.

Mon message à une professionnelle
En travaillant avec Biotic Phocea, vous avez un support en France, c’est très important, vous êtes en contact direct avec le fournisseur de pigments, celui qui fabrique. Alexandre Barathon, le directeur commercial de Biotic Phocea, est quelqu’un de très accessible qui n’hésite pas à mouiller sa chemise quand il y a des réunions et qu’il doit expliquer certaines choses. J’aime cette idée de faire travailler les gens en France, soutenir des produits français de qualité, à des prix compétitifs, c’est rassurant, il y a un gage de qualité, ils sont soumis à des normes extrêmement strictes.