AMANDINE BOUDOUX : le parcours d’une d’esthéticienne devenue responsable de la formation chez Carita et Helena Rubinstein
J’ai obtenu mon CAP Esthétique à l’École Pigier de Rouen et mon BP à l’École Françoise Morice à Paris. Au départ, je n’avais pas de plan de carrière défini mais je n’étais pas non plus sans ambition.
PREMIER CHALLENGE
Ma première expérience professionnelle se déroule dans un petit institut de beauté parisien où je suis en alternance. La gérante connaît très peu l’esthétique, je suis la seule esthéticienne, j’ai ainsi la liberté de profiter d’un très grand champ d’action pour explorer de nombreuses facettes du métier.
UNE BELLE OPPORTUNITÉ
Dans les années 2000, je rencontre le dirigeant d’une importante société d’investissement qui souhaitait créer un grand centre de bien-être avec une approche holistique au cœur de La Défense. C’est un vrai coup de cœur professionnel. Il ne connaît rien à l’esthétique, il veut juste ouvrir un lieu pour investir sur un avenir qu’il sent prometteur. Avec une autre esthéticienne, nous sommes embauchées. Nous avons à peine 20 ans et nous avons carte blanche pour gérer ce grand espace d’une dizaine de cabines UV et de cabines de soins.
Si les UV ne fonctionnent pas aussi bien que prévu, il y a une forte demande en soin, aussi nous choisissons nos marques de soin ainsi que les technologies avec lesquelles nous souhaitions travailler : amincissante, lumière pulsée, photo rajeunissement.
Rapidement, le centre de soins devient une franchise. Je participe à son développement d’ouvertures en ouvertures, à sa notoriété lors du Congrès ou de salons. Je tiens également un rôle de formatrice en intégrant chaque collaboratrice, en les formant aussi bien sur les produits que sur les technologies.