La médecine esthétique et la confiance en soi

Soigner l'âme, le visage, miroir du «soi»

Si on parle de plus en plus de médecine esthétique, sait-on vraiment ce que c’est ? Anne Gotman, sociologue, directrice de recherche au CNRS, rattachée au Centre de recherche sur les liens sociaux (CNRS/Université Paris Descartes), remarque que dans «médecine esthétique», il y a le mot «médecine». La médecine, c’est un gage de sérieux, c’est bénéfique, c’est un savoir-faire. La médecine, c’est le soin… Mais que soigne la médecine esthétique ?

La formule grecque kalos kagathos (littéralement «beau et bon») le souligne : le bon et le beau sont indissociables. Ce qui est bon pour le corps est bon pour la santé. Le lien, entre interne et surface, est poreux. Quand on prend soin de son apparence, on peut réussir à reconstruire l’estime de soi et certaines fêlures laissées par la vie et l’âge. On se correspond d’avantage, on est en harmonie avec soimême. Ainsi la médecine esthétique, plus qu’un soin cosméceutique peut agir comme un véritable soin de l’âme. La médecine esthétique est perçue comme un «+ beauté», mais elle peut aussi être vécue comme un vecteur essentiel de confiance en soi.

Quand le visage vieillit

Avec l’âge, la ptôse apparaît : les muscles du visage s’affaissent. Cela se traduit par l’apparition des rides et un relâchement cutané. La ride du lion reste marquée, les sillons nasogéniens se creusent, l’ovale du visage se relâche. Le visage est marqué et apparaît plus sévère : c’est la tristesse du visage. Le vocabulaire médical pour parler des zones à traiter est révélateur : on parle de vallée des larmes, de triangle d’amertume…

Au-delà des stigmates laissés par le processus de vieillissement de la peau et des effets du temps qui passe, le visage peut être marqué par une histoire difficile : nous pouvons lire dessus une certaine souffrance, du stress ou une fatigue installée… Certaines femmes ne se reconnaissent plus, elles en ont parfois honte, elles perdent confiance en elles et s’isolent. Pour que ces femmes se reconstruisent de l’intérieur, il est nécessaire d’effacer les marques qu’elles ont à l’extérieur, chaque jour rappelées par le miroir.

La médecine esthétique va conduire à une meilleure perception de soi et permettre à ces femmes de réapprendre à s’aimer.

Facteur essentiel, d’un retour à la vie professionnelle par exemple, la confiance en soi passe aussi par une meilleure perception de son physique.

La médecine esthétique, un impact remarquable sur la confiance en soi 

Pour Allergan Aesthetics, le rapport au corps a changé, il devient plus global, plus holistique. La perception du corps est un élément clé du bien-être. Une source incontestable de confiance en soi. Ce concept de self-confidence (confiance en soi) définit le regard que l’on porte sur soi. Il est l’un des fondements essentiels de la personnalité. À la différence de l’identité - qui permet de reconnaître une personne parmi toutes les autres - la personnalité est propre à chacun. Selon une étude menée par Insight Engineers Ltd sur un panel de 774 patient(e)s pour Allergan Aesthetics, à la question «Souhaiteriez-vous améliorer quelque chose de votre physique ?», 89 % des personnes interrogées ont répondu «Oui».

76 % du panel souhaitent améliorer les contours de leur visage, 52 % se sentent plus confiants avec des traitements sur-mesure et adaptés à leurs besoins et une moyenne de 78,5 % se disent d’accord avec l’affirmation suivante «Mon apparence me fait me sentir bien à l’intérieur». D’après Anne Gotman, «La personnalité n’a pas d’âge, elle évolue avec les expériences. Tandis que le corps est un marqueur de temps indéniable.

Le décalage entre sa vie intérieure - les affects, les pulsions, les envies ou les désirs - et notre corps peut générer une perte de confiance en soi. La médecine esthétique permet d’harmoniser ses deux entités pour retrouver son équilibre. De plus, à l’époque de Suzanne Noël, première femme chirurgienne esthétique au monde et pionnière féministe, nous parlions de capitaliser sur la beauté. Nous étions en période postguerre. Le mot capital était le reflet de notre société, il fallait que tout soit rentable. Aujourd’hui, on aspire à sauver, entretenir, prendre soin de soi et de ce qui nous entoure. Nous sommes passés de la notion de capital jeunesse au désir de prendre soin de soi».

La médecine esthétique : un levier de confiance en soi 

Conscient de cette évolution des pensées, Allergan Aesthetics s’appuie sur son expertise médicale pour accompagner les patientes dans leur quête de reconstruction en proposant des traitements esthétiques innovants, peu invasifs et des résultats au plus proche du naturel. Pour Anne Gotman, «Une chose qui vient de soi n’est pas une injonction sociale». Cela fait écho aux engagements d’Allergan Aesthetics, qui prône avec ferveur la liberté de faire le choix de la médecine esthétique pour améliorer, préparer, réparer ou corriger son visage ou son corps.

L’étiquette esthétique devenant plus intime, plus personnelle, la médecine esthétique est vue comme une opportunité de développement personnel pour les patientes et non plus comme un tabou. Celle-ci encourage Allergan Aesthetics à développer de nouvelles technologies toujours plus innovantes et rassurantes car même si la médecine esthétique apporte des solutions de soins bénéfiques, «le beau et le bon» sont perçus comme inséparables. Allergan Aesthetics est attaché aux principes de qualité et d’innovation. Pour le laboratoire, la confiance est un lien social qui rassemble. Les patientes livrent leur projet esthétique aux praticiens qui utilisent les produits proposés par Allergan Aesthetics. Un cercle vertueux où la confiance que tous les acteurs ont les uns envers les autres est absolue.