I Love Sothys (2)

Jessica Drouet

J’ai cet institut de beauté depuis quinze ans. À 19 ans, j’ai ouvert avec une cabine. Petit à petit en rachetant les commerces à gauche et à droite je me suis agrandie et aujourd’hui j’ai quatre cabines de soins, une cabine UV et un espace ongles. L’équipe est formée de huit esthéticiennes et nous travaillons avec Sothys et Mary Cohr.

La découverte de la marque
L’une de mes amies effectuait son BP dans un institut qui travaillait avec Sothys. Elle m’a fait tester les produits et j’ai beaucoup aimé. Au moment de m’installer, j’ai contacté Sothys qui m’a envoyé un carton de produits et là, ça été un vrai coup de coeur pour la marque, j’ai aimé les odeurs, les textures, les packagings, l’histoire, la déesse égyptienne… ça m’a tellement plu que je n’ai rien testé d’autre.

Mon produit préféré
Ça a changé avec les années, aujourd’hui j’aime la «Crème 128», c’est la plus belle, j’aime son efficacité et son odeur.

Le produit préféré des clientes
Pour le corps, les clientes aiment le «Gommage Délicieux». En produit visage, elles adorent la gamme «Hydra» pour sa texture et son efficacité.

Les soins cabine
J’apprécie beaucoup que les soins cabine Sothys aient un vrai protocole unique avec de la digipression, c’est vraiment la signature Sothys, ça ne se voit pas ailleurs. J’aime ces protocoles uniques et très manuels, sans machine.

Sans Sothys, je n’aurais pas eu la même évolution

Sothys et les autres marques
Il m’arrive de parfois profiter de soins d’autres marques mais j’ai beaucoup de mal. J’ai l’oeil critique, je me détends beaucoup moins. Ces soins ne font que conforter mon choix de Sothys. En quinze ans, je n’ai jamais eu envie de changer de marque ! Sothys évolue beaucoup, les soins sont reformulés régulièrement, il y a beaucoup de nouveautés, on n’a pas le temps de s’ennuyer et l’efficacité est toujours aussi bonne si ce n’est pas de mieux en mieux. On est toujours aussi bien suivie par la marque. Il n’y a vraiment aucune raison d’aller ailleurs.
Pour la saison d’été, j’ouvre un deuxième institut éphémère d’une cabine appelé L’Annexe et là aussi j’utilise Sothys.

La vente de produits
La vente de produits se passe très bien. Les esthéticiennes font des formations notamment grâce à Sothys et les clientes achètent leurs produits dans mon institut.
J’ai du mal à comprendre le blocage des esthéticiennes par rapport à la vente. Il ne faut pas voir la vente comme du forcing mais comme un conseil qui n’existe nulle part ailleurs. Une fois que les clientes achètentun produit chez moi, elles reviennent et elles agrandissent leur salle de bains-institut à domicile. J’ai des clientes qui me suivent depuis mes débuts, elles me font confiance et elles suivent l’évolution des produits. Sothys nous donne beaucoup d’échantillons pour faire découvrir de nouveaux produits aux clientes.

Moi, mes clientes, mes esthéticiennes et Sothys
Sans Sothys, je pense que je n’aurais pas eu la même évolution car on travaille bien, on vend bien une marque que l’on apprécie. La marque est dynamique et moi aussi, je suis en attente de nouveautés, que ça bouge et mes clientes aussi, Sothys nous convient très bien.

Il y a beaucoup de récompenses pour les clientes, des animations, des cadeaux. Sothys est très généreux avec les clientes. Lorsqu’une cliente ne connaît pas la marque, je lui explique qu’il s’agit d’une marque française. Ça plaît beaucoup, c’est une marque dynamique qui a un côté très technique. Il y a une grosse recherche, ce sont eux qui produisent et beaucoup de leurs actifs proviennent de leur propre jardin botanique à Brive.

La marque apporte des réponses à toutes les femmes quelle que soit leur problématique. Mes esthéticiennes ne connaissaient pas forcément Sothys et elles ont toutes accroché, je leur ai transmis ma passion.

Message à une esthéticienne
Il est déjà arrivé que des esthéticiennes me contactent pour avoir mon retour sur la marque, à chaque fois j’ai la même réponse : «Il faut foncer, Sothys est une marque qui nous suit, qui nous aide beaucoup».


Trois enfants et un institut
Je reviens de congé de maternité, j’ai eu un troisième petit garçon. Pendant mon absence, j’ai pris un CDD, l’objectif est de l’embaucher définitivement.
Finalement, la gestion de trois enfants et de l’institut, c’est faisable, mais il faut être organisée et il faut avoir la «niaque», il n’y pas le choix ! Pour mon troisième, j’ai travaillé jusqu’à quinze jours avant l’accouchement, tout allait bien, je me suis arrêtée pendant trois mois et je n’avais qu’une envie : revenir travailler pour m’épanouir dans ma profession.

Un temps pour Soi, 43 bis, route de Bordeaux, 33950 Lège-Cap-Ferret.