ACTUALITÉS Vie Professionnelle 2 (Janvier 2024)

Paris

Les soins capillaires de Magnifisens

Les problèmes capillaires sont multiples, les causes en sont diverses… Le Dr Sandra Texier à la tête de la Maison Magnifisens met son professionnalisme et sa connaissance médicale au service de la beauté et assure des résultats sur le long terme.

Elle propose trois protocoles.

Le Jet Peel Capillaire

Le Jet Peel Capillaire est un véritable booster qui permet de nourrir, réparer directement à la source dans les couches de la peau du cuir chevelu. Tout en douceur sans injection sans aiguilles pour une repousse efficace du cheveu.

Une composition botanique et minérale qui va annuler la suractivité de la DHT et va permettre de retrouver un cheveu épais résistant et en bonne santé. De l’acide hyaluronique et de l’aloe vera sont propulsés à une vitesse très rapide, cela permet de débarrasser le cuir chevelu de tout ce qui obstrue ses pores. Un cocktail de vitamines et d’actifs végétaux aux vertus anti-oxydantes est ensuite appliqué jusqu’à la racine des cheveux.

La photomodulation triwings

La Photomodulation Triwings est une approche innovante en dermatologie esthétique et capillaire. La lumière stimule la régénération cellulaire pour améliorer la qualité du cuir chevelu. Cette technique est non invasive, totalement sûre. Les lumières utilisées favorisent la production de collagène, l’élasticité du cuir chevelu, limitent la chute du cheveu, stimulent l’activité des cellules présentes dans le cuir chevelu. Les follicules pileux captent la lumière et permettent une repousse des cheveux.

On note une amélioration de la circulation sanguine, un apport en oxygène, une action anti-inflammatoire, une baisse de la production de sébum, une réduction de l’hyperkératose.

La tricopigmentation capillaire

La tricopigmentation capillaire est un maquillage semi-permanent qui vise à camoufler la perte de cheveux, les zones clairsemées ou les cicatrices sur le cuir chevelu. Contrairement à la greffe de cheveux qui est une intervention chirurgicale, la tricopigmentation capillaire est non invasive.

Déroulement

Des pigments spécialement formulés sont injectés dans la couche superficielle de la peau du cuir chevelu à l’aide d’une aiguille fine. Ces pigments imitent l’apparence des follicules pileux, créant ainsi l’illusion du cheveu plus dense et d’une ligne mieux définie.

Cette méthode capillaire dure de 1 à 3 ans, c’est une technique attrayante afin d’améliorer l’apparence capillaire de manière non permanente.

La tricopigmentation capillaire est une alternative parfaite pour tous ceux et celles qui souffrent de perte de cheveux.


Durcissement de la loi AGEC

Le durcissement de la loi AGEC survenu fin septembre 2023 oblige désormais les marques à signaler aux consommateurs les perturbateurs endocriniens avérés ou présumés présents dans les formules et/ou les emballages de produits, y compris les produits cosmétiques.

Cosmébio, première association professionnelle à avoir encadré et structuré le marché des cosmétiques naturels et bio, n’a pas attendu pour protéger les consommateurs, puisque l’association bannit depuis toujours les substances présentant des propriétés de perturbation endocrinienne mentionnées dans le nouvel arrêté, qu’elle considère comme un enjeu majeur de santé publique.

Si l’obligation d’informer les consommateurs de la présence de perturbateurs endocriniens avérés, présumés ou suspectés, existe théoriquement depuis le 1er janvier 2022, le durcissement de la loi AGEC ne laisse plus d’échappatoire et rend l’obligation effective immédiatement. Avec l’arrêté du 28 septembre 2023, toutes les marques concernées ont désormais 6 mois maximum pour se conformer à la loi. Et l’obligation concerne aussi bien les formules que les emballages afin d’assurer la plus grande transparence envers les consommateurs et de les sécuriser quant aux potentiels risques pour leur santé. Pour appuyer cette décision, l’ANSES a publié dans la foulée une liste de 128 substances devant être signalées, Parmi celles-ci, figurent 16 substances cosmétiques, dont 13 sont déjà interdites par le règlement cosmétique. 3 substances demeurent donc potentiellement présentes dans les produits cosmétiques : le 4-Methylbenzylidene camphor, le Tris (nonylphenyl) phosphite et le Nonoxynol-9. Cosmébio affirme ainsi sa position de visionnaire puisque son référentiel d’ingrédients autorisés ne contient aucune substance mentionnée dans la liste publiée par l’ANSES. L’association considère depuis toujours que les perturbateurs endocriniens sont un enjeu majeur de santé publique ! Rappelons que les perturbateurs endocriniens sont des molécules qui perturbent le fonctionnement normal du système hormonal et induit des effets néfastes dans l’organisme.

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Particulièrement attendue, cette loi était nécessaire pour que les consommateurs puissent avoir toutes les cartes en main afin de déterminer les substances auxquelles ils sont exposés. Et s’il est impossible de les supprimer totalement au quotidien, il est possible d’en limiter grandement l’exposition. Plus que jamais, l’association encourage vivement les consommateurs à se tourner vers des produits cosmétiques labellisés Cosmébio.


Accompagner les femmes atteintes de cancer

L’Association Belle & Bien lance «Mon Parcours So Doux» pour que chaque femme concernée par le cancer puisse continuer à prendre soin d’elle.

L’association Belle & Bien propose depuis plus de 20 ans un accompagnement socio-esthétique des femmes atteintes de cancer. Pour permettre à toutes ces femmes, y compris celles qui sont éloignées des centres urbains, de bénéficier de ses services, l’association lance «Mon Parcours So Doux». Ce parcours autonome d’apprentissage ludique et pédagogique, intégré au sein de l’application mobile Belle & Bien, a pour l’objectif de permettre aux apprenantes d’acquérir les meilleurs pratiques de soins adaptés à leur situation.

Prendre soin de soi pendant les traitements contre le cancer est une véritable thérapie pour l’Association Belle & Bien, qui propose chaque année environ 530 ateliers et classes de soins et de conseils onco-esthétiques dans son propre salon de soins (Paris 7ème) et au sein des hôpitaux partenaires.

Le parcours digital de Belle & Bien

D’abord active sur le terrain, l’Association Belle & Bien s’est ouverte il y a deux ans au digital en proposant des masterclass en visio pour que davantage de femmes puissent bénéficier de ses ateliers.

Cette année, la dynamique de la digitalisation se poursuit avec la mise en place d’activités digitales pédagogiques de formation, d’auto-formation et de prévention. Le module de formation «Je prends mon dépistage en main» lancé en partenariat avec Teach on Earth dès septembre 2023 en est l’un des premiers exemples.

Belle & Bien franchit un nouveau cap en lançant «Mon Parcours So Doux», un parcours digital dédié au soin, à la beauté et au mieux-être pendant le cancer, accessible à toutes et partout.

«Les soins esthétiques sont essentiels pendant les traitements contre un cancer. Ils représentent un moment privilégié au cours duquel les patientes renouent avec des émotions positives : celles de se regarder et être regardées, de se porter de l’attention et du soin, de retrouver confiance en soi, de se réestimer. Prendre soin de soi est une thérapie, c’est notre conviction ! Avec So Doux, nous sommes fiers de pouvoir aujourd’hui en faire bénéficier le plus grand nombre» explique Guillaume Adam, directeur de l’Association Belle & Bien.

So Doux est avant tout un outil pédagogique pour découvrir, apprendre et reproduire tous les soins esthétiques pendant les traitements contre le cancer.

A travers une vingtaine de modules (illuminer, intensifier, colorer, des ongles soignés, un visage hydraté, des mains et des pieds apaisés, des massages du cou, du décolleté, et du cuir chevelu, etc…), tous les sujets liés aux soins, au bien-être et à la beauté sont abordés.

Grâce à la digitalisation de son offre, l’association qui a accompagné 3 000 patientes en 2023 entend en faire bénéficier 15 000 d’ici 2028.


Faciliter les opérations logistiques

Fleetever est une plateforme digitale qui accompagne les entreprises de la cosmétique dans leurs opérations de transport. Son application permet de simplifier la gestion logistique.

Fleetever, transitaire digital français, annonce son développement sur le marché de la cosmétique. L’entreprise a lancé son application pour faciliter les opérations logistiques. Fleetever connecte les utilisateurs et les transitaires en un seul canal, ce qui permet de digitaliser et de simplifier la gestion des opérations logistiques.

Le secteur de la cosmétique est en constante évolution et cherche à améliorer la qualité et la rapidité de ses opérations logistiques. Fleetever aide les entreprises à relever ces défis en leur fournissant une solution innovante pour la gestion des opérations logistiques. En se développant sur le marché industriel, Fleetever répond aux besoins spécifiques de ce secteur en proposant une application permettant aux clients de gérer leurs opérations logistiques de manière plus efficace et plus rapide.

Grâce à cette application, les entreprises peuvent bénéficier d’une meilleure traçabilité des produits, d’une optimisation de la chaîne d’approvisionnement et de la réduction des coûts liés à la logistique. Fleetever s’engage ainsi à contribuer à la croissance et à la compétitivité des entreprises en leur offrant une solution logistique innovante et efficace.

L’application de Fleetever centralise toutes les fonctionnalités sur une seule plateforme, y compris une messagerie, un accès au partage de documents, un système de suivi en temps réel, et plus encore.


Soins à prix réduit

Wecasa lance le «Club Wecasa», un programme d’abonnement pour bénéficier de services bien-être à prix réduits.

Pour 9,90Ä par mois, les adhérents peuvent bénéficier de 25 % de réduction sur toute l’offre bien-être (coiffure, beauté, massage, coaching sportif). Ce programme d’abonnement a pour objectif de démocratiser le recours aux services à domicile. Un tarif réduit, une solution de réservation rapide et flexible : le Club Wecasa rend les prestations de bien-être accessibles à tous sans impacter la rémunération des professionnels.

Aider chacun à retrouver du temps pour soi

L’inflation entame les finances et le moral des consommateurs. Nombreux sont ceux qui s’interrogent sur la nécessité de réduire leurs dépenses en matière de beauté et de bien-être. Selon un sondage IFOP, 36 % des Françaises ont renoncé en 2023 à se faire couper les cheveux par un coiffeur par manque d’argent. Ces renoncements sont loin d’être anecdotiques et ont un impact sur l’estime et l’image de soi.

Consciente de ce phénomène, Wecasa lance un programme d’abonnement, sans engagement et résiliable à tout moment, pour permettre à ses clients de continuer à prendre soin d’eux en bénéficiant de tarifs réduits.

Plus de sessions pour les clients, plus de missions pour les professionnels

Le Club Wecasa a également pour objectif de soutenir l’activité entrepreneuriale des professionnels du bien-être qui subissent actuellement une baisse des prises de rendez-vous.

La mise en place de ce programme avantageux n’aura pas de répercussion sur la rémunération des travailleurs indépendants qui reste la même. Le savoir-faire des professionnels a de la valeur, leurs services ne doivent pas être bradés au gré des opportunités commerciales. Dans la droite ligne de sa démarche responsable, Wecasa prend intégralement en charge le coût de cette offre, et fait le choix de renoncer à la commission de 25 % qu’elle applique habituellement. La plateforme se rémunérera uniquement sur le prix de l’abonnement mensuel payé par le client.

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«Wecasa est une offre de services basée sur l’humain. Notre défi est double : nous avons à cœur de continuer à proposer des services de bien-être accessibles à tous, tout en permettant à plus de 10 000 professionnels indépendants de vivre pleinement de leur métier. C’est toute l’ambition du Club Wecasa.» Antoine Chatelain, co-fondateur de Wecasa.

À PROPOS DE WECASA

Fondée en 2016, la plateforme Wecasa permet aux particuliers de réserver des services à domicile via le site ou l’application. Sessions de beauté, de bien-être, ménage, garde d’enfants ou coaching sportif : plus de 10 000 professionnels indépendants mettent à disposition leurs savoir-faire sur Wecasa. Leur mission est de permettre aux particuliers de s’accorder un peu de temps pour prendre soin d’eux, de leur famille ou de leur maison. Avec Wecasa, les services à domicile sont accessibles à tous et partout, dans le plus grand respect des droits et des libertés des travailleurs indépendants.


Rencontre des industries cosmétiques

Le comité de la filière cosmétique s’est tenu en novembre, à Bercy, au Ministère de l’Economie, des Finances, et de la Souveraineté Industrielle et Numérique. Organisée par le pôle de compétitivité Cosmetic Valley et la FEBEA (Fédération des Entreprises de la Beauté) cette réunion s’est tenue en présence d’une trentaine de représentants de la filière.

Ils étaient de tous les maillons de la chaîne de valeur et d’entreprises de toutes les tailles, du médiateur des entreprises ainsi que des représentants des ministres du Commerce extérieur, de la Transition écologique et des Outre-mer.

Cette quatrième édition du comité a permis d’échanger sur les défis rencontrés par les industries cosmétiques en matière de transition écologique et numérique, d’innovation technologique, d’attractivité des métiers, d’export et de compétitivité. Elle a été, notamment, l’occasion de présenter plusieurs projets structurants impliquant partenaires publics et privés :

- transition écologique : lancement d’une stratégie de décarbonation et la valorisation de la biodversité ultramarine avec le déploiement de la «cosmétopée»,

- emploi et formation : accueillir 30 000 personnes dans la filière d’ici 2025,

- «fabriqué en France» : poursuivre la relocalisation des achats et l’intégration de la filière,

- export : création d’ambassades sectorielles dans les marchés-clés.